Terrain à vendre à Saint Malo : ce qu’il faut savoir avant d’acheter !
Acheter un terrain sur un coup de tête, c’est une très mauvaise idée ! Comme pour l’achat d'autres biens, il est important de vérifier plusieurs points, surtout si vous projetez d’y construire votre future maison.
Attention aux pièges !
Vous avez trouvé un beau terrain à vendre à Saint Malo ? C’est bien, mais pensez avant tout à vérifier la nature du sol avant de passer à la signature de l’acte de vente. En cas de doute, n’hésitez pas à demander l’avis d’un professionnel (un géologue par exemple) qui vérifiera qu’il ne s’agit pas d’un terrain remblayé ou argileux. Pensez aussi à éviter un terrain en pente, sauf si vous avez prévu un budget pour le terrassement.
Ce qu’il faut vérifier
En plus d’analyser le terrain que vous prévoyez d’acheter, pensez aussi à vérifier quelques documents associés, à commencer par le certificat d’urbanisme. Ce document, à récupérer auprès de la mairie, confirmera si oui ou non le terrain est constructible. Profitez-en également pour jeter un œil sur le plan d’occupation des sols. Par ailleurs, vous pouvez faire appel à un géomètre pour bien vérifier les limites exactes du terrain à vendre à Saint Malo.
Les formalités
Après avoir vérifié tout cela, il faut maintenant passer à la concrétisation de l’achat, en commençant par signer un compromis de vente avec le vendeur. Cela vous donne le temps de bien préparer votre dossier d’achat (dossier de financement), que vous allez présenter lors de l’ultime étape : la signature de l’acte de vente. A noter que cette dernière étape se fait environ 3 mois après la signature du compromis.
Achat de terrain et fiscalité
Il est bon de savoir qu’un terrain à bâtir est soumis à la taxe foncière, et le montant associé est fixé par la commune correspondante. Cette taxe varie donc en fonction de la zone géographique du terrain à vendre (ici à Saint Malo), et particulièrement en fonction de la demande sur place. Si vous avez comme projet de revendre le terrain après l’avoir acheté, vous devez aussi penser à payer la taxe sur la plus-value, à moins que vous ne réalisez la revente qu’au bout de… 22 ans de détention.